Ca y est, j’ai entamé mon nouveau travail, dans une nouvelle entreprise. J’ai vite été plongé dans la course avec un gros projet de conception d’un nouveau datacenter. Si les technologies avaient presque toutes été choisies à mon arrivée, je dois tout de même faire toute la conception du réseau, en prévoyant de faire sécurisé et pouvant assurer de la haute disponibilité. Du coup j’ai le cerveau en ébullition. Autant je peux avoir le syndrome de la page blanche quand j’écris que là au fur et à mesure des jours, le plan s’est monté dans ma tête. Je fulmine d’idées, au point que je ne dors que quelques heures par nuit sans en ressentir de fatigue tellement je suis excité par ce projet.

Hier encore, j’ai passé mon après midi à mettre sur plan les idées que j’avais eu dans la nuit. Je me sens tellement moi-même dans ces cas. Quand je faisais des études de techniques industrielles au lycée, je m’imaginais penché sur un table à dessin, puis pendant mon deug de maths, je me voyais en train d’écrire des formules sur un tableau, modifiant les paramètres, ajustant l’équation. Finalement, c’est un peu des deux. J’ai d’abord commencé par un schéma de base sur un tableau blanc, que j’ai complété au fur et à mesure, imaginant son évolution possible, redondant un lien ici, ajoutant un contrôle là. Il faut penser à tout pour prévoir flexible, pérenne et fiable. Je me sens tel un artiste accomplissant son oeuvre, sa vie totalement absorbée par son projet.

Written on mai 10th, 2009 , General, Informatique

On dit que le zen peut se trouver dans tous nos actes quotidiens, la confection d’un bouquet, le tir à l’arc, la décoration et l’agencement de la maison. J’ai souvent le sentiment d’atteindre cette plénitude quand je tonds la pelouse. A la manière d’un jardin japonais, j’aime tracer des lignes régulières et donnant une sensation de profondeur. En lieu et place d’un râteau et d’un bac à sable, j’ai une pelouse et une tondeuse. Certes il y a le ronron celle-ci, mais il est tellement entêtant que finalement j’arrive d’autant mieux à réfléchir. Ce texte m’est d’ailleurs inspiré de mes deux heures de tonte. Je vais jusqu’à repasser sur une ligne si une petite touffe a été oubliée ou si la tondeuse a laissé une motte.

J’aime ensuite à me promener pieds nus sur ma pelouse fraichement tondue. Je ne joue pas au glof mais on a à la maison un putter et une balle. Souvent je les sors, je pose la balle au sol et je m’imagine sur le green d’un parcours de glof. Malheureusement pour connaître un vrai green, la qualité de notre pelouse en est bien loin. J’ai une profonde admiration pour les jardiniers qui entretiennent les terrains de foot, j’aimerais avoir leur don pour avoir de si beaux résultats, qu’il s’agisse de ligne parallèles ou de cercles concentriques. J’ai découvert il y a peu de temps qu’ils attelaient un appareil spécial à l’arrière d’un tracteur pour faire cet effet de lignes alternées.

Le second effet se produit dans les 3 jours qui suivent. Les lignes qui produites par les roues de la tondeuse et qui donnent cet effet de ligne blanche s’estompent au fur et à mesure que l’herbe se redresse et c’est d’autant plus agréable à l’oeil qu’il n’y a plus qu’une grande étendue verte dans laquelle on a envie de se rouler.

Quelques photos prises ce soir après la tonte vers 20h30 dans un soleil déclinant:

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Et mon « rateau » japonais:

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Written on avril 24th, 2009 , General, Photos, Réflexions

A Tours il y a un fameux chocolatier dont la boutique s’appelle la chocolatière. C’est le must de tout ce que j’ai pu gouter en terme de finesse et de saveur du chocolat. Par chance j’en ai eu plein pour Pâques (hé oui comme j’étais à la mer hier, on a cherché nos oeufs dans le jardin ce matin en famille).

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Written on avril 13th, 2009 , General

Demain c’est Pâques ! Comment ne pas profiter de l’occasion pour se goinfrer de chocolat. Les vrais connaisseurs parlent surtout de l’arôme du cacao, s’attardent sur la teneur, son gout corsé. Pour moi la dégustation commence bien avant qu’il ne fonde dans la bouche. Il y a d’abord l’achat. Lorsque j’étais à Poitiers, encore étudiant, et qu’il me restait quelques sous à la fin du mois mon grand plaisir était de me rentre au rayon confiserie et de choisir une ou deux tablettes. Je m’efforçais à chaque fois de découvrir de nouvelles saveurs, mais je dois avouer que mes gouts favoris tournaient autour de celles dans laquelle il y avait une feuille de nougatine ou du caramel au beurre salé.

Plus loin encore, je me souviens des mercredis après midi que nous passions chez les grands-parents. Habitant à la campagne, on s’ennuyait rapidement en appartement avec ma soeur. Nous attendions avec impatience l’heure du gouter au cours duquel notre grand-mère réchauffait la brioche au four et sortait la fameuse boite à chocolat du frigo. Elle avait en effet l’habitude lorsqu’elle achetait des tablettes de les casser en morceaux de deux ou trois carrés et de les mettre  en vrac dans une boîte metallique. Je me souviens du plaisir que j’avais à fouiller pour trouver celui avec les noisettes et du gout que celui-ci avait lorsqu’il fondait doucement au milieu de la brioche tiède. Je m’aperçois que c’est l’une des choses qui me manque le plus depuis qu’ils sont décédés.

Je constate avec plaisir que ma mère a recyclé une boite de biscuits métallique Bonne Maman en boite à chocolat.Elle n’a pas encore pris l’habitude de casser les tablettes mais je vais lui souffler l’idée. L’autre plaisir que j’ai à manger du chocolat c’est l’aspect croquant. Je me demandais à l’instant même qu’est ce qu’il y avait d’aussi croquant que le chocolat et qui fasse autant plaisir à écraser sous la dent.

Tout ça pour dire que j’attends demain avec impatience. Peut être moins que quand j’étais petit et que j’étais levé au premier rayon de soleil qui passait au travers des volets, alors que j’avais une peur bleue de me retrouver nez à nez avec une cloche (genre rencontre du 3ème type). Surtout qu’avec l’age adulte, on se dit que c’est encore une occasion de prendre des kilos. Bon sang elle est si loin que ça notre enfance ?

Written on avril 11th, 2009 , General, Réflexions

Bien que je n’aimerais pas y vivre, j’aime Paris en cette saison. Quand en plus le client est dans le 16ème arrondissement, que l’on prend le métro ligne 6 en aérien et qu’il y a un grand soleil. C’est là que l’on remarque qu’il y a tout de même quelques arbres à Paris. Ils sont tous en fleurs, généralement roses et semblent éclairer les coins de rues dans lesquels ils se trouvent.

Nous sommes arrivés en avance mon collègue et moi, aussi nous avons eu le temps  de prendre un petit café en terrasse. Malheureusement nous étions en salle machine, au sous-sol d’un immeuble plus très jeune avec des bouts de plafond qui nous tombait sur la tête. On a d’autant plus apprécié la terrasse du restaurant en plein soleil le midi. Paris est la seule ville où l’on peut manger un menu chinois complet pour six euros.

Ayant fini tôt, nous avons pris le temps d’aller faire un petit coucou à la tour Eiffel avant de reprendre le train pour rentrer parmi les touristes et les classes de découvertes. Un vent de liberté a soufflé sur cette journée et je dois admettre que c’était l’une de nos missions les plus agréables.

Written on avril 9th, 2009 , General

Depuis quelques temps je fais l’effort de me détendre le week-end. Hé oui j’ai réussi à placer un oxymore rien que dans la première phrase, cet article commence fort…. Pour pas grand chose en fait. Je ne vais que vous raconter ce que je fais de mes week-ends. Le week-end dernier j’ai passé un agréable dimanche, après une grasse matinée et un rapide repas je suis allé profiter du beau temps à Montlouis au terrain d’arc. Nous avons tiré pendant presque 5 heures avec un ami. Le temps était doux, le soleil est venu nous chauffer le dos en fin d’après midi. Nous avons ainsi pu régler nos arc pour le début de la saison extérieure.

Après de tels efforts nous nous sommes retrouvés devant un verre à écouter de la musique douce grisés par l’air pur et peut être un peu les bières. Pour ne pas se quitter comme ça nous avons commandé des pizzas et nous nous sommes instalé devant le concert de M à Bercy (tournée en tête à tête). La soirée s’est terminée autour d’un Abalone. J’aime le retour de ce genre de soirée où l’on rentre dans un état de bien être total. Je pense souvent à l’image de Travolta dans Pulp Fiction complètement défoncé au volant de sa décappotable. Bien que la soirée n’ait pas été arrosée au point que je sois dans le même état je ressens le même sentiment d’état hébetté.

Si vous n’avez pas d’ami qui fasse du tir à l’arc et si vous mêmes vous ne faites pas de tir à l’arc il y a d’autres moyens d’atteindre cet état de pleinitude. Après une bonne grasse matinée et un repas de fruits de mer à midi, j’ai passé l’après midi avec une copine à l’espace aquatique de Tours. Après avoir nagé 1 km dans le grand bassin extérieur dans une eau à 27° nous nous sommes rendus dans le bassin avec les jets massants à 30°. Puis nous sommes montés à l’espace détent où nous avons enchainés hamman, saunas, massage des pieds sur les galets, sieste sur transats, douches chaudes et froides.

Je suis rentré à peu près dans le même état que la semaine dernière avec cette sensation singulière de flotter au dessus de mon corps. Un petit apéritif en rentrant à la maison, un mix avec mes morceaux préférés de trance, un dvd allongé sur le canapé avec une couverture polaire pour me tenir chaud (alors que la température de la maison est tout à fait raisonnable) et me voilà avec le sentiment d’avoir une fois encore accompli une journée parfaite.

Je suis de plus en plus à la recherche de ces moments de bonheur total.Il ne faut pas se sentir coupable de ces instants. L’esprit libre je n’ai cessé de penser à mes amis et tous les gens qui m’entourent et qui font ce que je suis, qu’ils soient proches ou loin de moi.

Written on avril 4th, 2009 , General, Réflexions

« Tu verras devant l’obstacle, on se révèle ». C’est une phrase des paroles de la chanson « l’imprudence » de mon chanteur préféré Alain Bashung. En hommage, je voudrais revenir sur ces mots. Je me faisais la réflexion hier soir à l’escalade, alors que nous étions en train de tenter un mouvement difficile dans un bloc. J’ai été étonné après une dizaine d’essais de ce mouvement de constater qu’à l’essai suivant j’y ai mis une hargne dont je ne me croyais pas capable pour finalement le réussir.

J’ai recherché en me couchant hier soir d’autres exemple de cette formidable mobilisation d’énergie dont on est capable à un instant précis pour aller au delà de nos capacités. En tir à l’arc par exemple, il y a une discipline que j’adore qui est le tir par équipe. Nous sommes trois et chacune de nos flèches s’ajoutent en cible face à l’équipe adverse. Même si ce n’est jamais agréable pour le moral, j’aime toutefois les moments où l’équipe est menée de quelques points et où chacun se surpasse. On est alors tout surpris du niveau de son coéquipier et de son propre niveau dans ces circonstances.

Je me souviens également de ma première grande voie d’escalade à Ailefroide. 450m à effectuer en 12 longueurs sans vraiment d’expérience du naturel. J’ai bien senti sur la fin une baisse de régime, pas forcément physique mais la tentation de se laisser aller au vertige, à la fatigue et à l’abandon de soi. Cependant la soif d’atteindre le sommet a pris le pas et alors que ma condition physique s’était dégradée sur les dernières longueurs, j’ai enchainé avec aisance les 3 ou 4 derniers relais.

Il y a aussi des contre-exemples dont j’ai été victime la semaine dernière. Il s’agit généralement de travaux à la maison, lorsque l’on est pressé de finir et que pour le coup on soulève une charge trop lourde pour nous, on accélère le rythme pour brûler le plus de branches possibles dans la soirée même si la nuit est tombée, on fait tourner 2 ou 3 bétonnières de trop. Dans tous ces cas j’en ai payé les frais, par des tendinites, des vertèbres déplacées, ou encore une intoxication due à une inhalation répétée du pollen présents dans les branches des tuyas.

Il y a donc des défis à reveler qui valent la peine et qui sont valorisants lorsque l’on se surpasse pour les atteindre et une mauvaise gestion de ses capacités due généralement à une envie d’en finir.

(Oui pour les puristes, la chanson parlait plutôt de faire le premier pas en direction d’une jolie fille,mais j’ai nettement moins d’expérience dans ce domaine que dans le domaine sportif)

Written on mars 19th, 2009 , Escalade, General, Réflexions, Tir à l'arc

Me voici de retour, les yeux plein de neige, les poumons remplis d’air frais. Après un petit détour sur Vichy pour aller saluer un ami cher, nous sommes partis à trois au Mont Dore pour profiter des dernières neiges. Malgré les prévisions plutôt maussades nous avons eu un très beau week-end sous le soleil. J’ai pour la première fois pris un coup de soleil sur le sommet du crâne, ça confirme ma calvitie naissante et ce n’est pas pour me réjouir.

Le samedi les conditions étaient excellentes et je m’en suis donné à coeur joie sur toutes les pistes du domaine. Comparé aux stations des Alpes ou des Pyrénées, ce qui est bien dans le Massif Central c’est qu’on peut faire des rouges et des noires sans forcer ni même se faire peur. J’ai eu la chance que la magasin qui louait les skis n’avaient plus de modèle intermédiaire et j’ai donc eu du haut de gamme pour le même prix.  D’abord décontenancé par ces skis qui m’avaient l’air de partir dans tous les sens, j’ai vite appris à les maitriser en même temps que mon plaisir augmentait.

Il faut croire que l’air de la montagne et la fatigue d’une journée de ski ont eu du bon sur ma santé car je n’ai plus fait de crise d’angoisse depuis ce week-end. Il faut maintenant attaquer une nouvelle semaine avec quelques courbatures dans les mollets. Loin d’éprouver cette sensation de regret que l’on a habituellement quand on quitte la montagne, je ne peux que me réjouir d’avoir fait deux week-ends et une semaine de ski depuis le début de l’année, sans parler des chutes de neige exceptionnelles que l’on a eu à Tours. Il ne reste plus qu’à attendre maintenant la saison prochaine en espèrant qu’elle pourra encore une fois combler cette soif dévorante de glisse.

Written on mars 17th, 2009 , General, Vacances

Les classements sont à la mode. Je parle de la télévision mais aussi de tout le monde qui nous entoure. En effet, même si nous avons quitté l’école, tout est moyen à ordonner, départager, classer les gens. J’ai appris il n’y a pas longtemps que la direction nous attribuait des bons ou des mauvais points selon la vitesse à laquelle on répondait aux messages de la hiérarchie.

Outre ce phénomène de société, je me demandais en ce qui concerne les artistes, qu’est ce qui peut justifier leur classement. Prenons les guitaristes par exemple. Le magazine Rolling Stones publie régulièrement un classement des meilleurs guitaristes. Je posais la question à un ami qui joue de cet instrument justement. Peut on objectivement discerner un meilleur parmi tous les bons guitaristes, du moins les plus connus. J’ai été frappé d’apprendre que Jimmy Hendrix lui même avait un maître. Le maître du maître doit donc être reconnus de tous. Or chacun a son propre dieu de la guitare. Personnellement, certains morceaux de Clapton me tirent les larmes ou me donnent la chair de poule et il n’y a aucun autre musicien qui arrive à me faire ressentir les mêmes sensations. Or il n’est classé que 4ème. Par contre même si je reconnais le talent de Jimmy Hendrix jamais je n’aurais une telle communion émotionnelle avec sa musique.

Cet ami m’a répondu que selon lui il y avait le meilleur sur le plan technique mais aussi le premier à avoir fait quelque chose de particulier, qui a apporté un vent nouveau dans son domaine et qu’il était donc difficile de désigner un meilleur parmi tous. Là où c’est encore plus difficile pour moi c’est le classement des DJ, fait par DJ Mag. Même si on retrouve les plus connus, je me demande comment ils peuvent juger car à priori il ne sont pas tous producteur de leurs propres morceaux et le propre de DJ est de mixer des artistes différents.

Non franchement ces classements me paraissent bien futiles, chacun a ses idôles, ses maîtres, ses artistes qu’il admire le plus et le fait qu’il y ait plus ou moins de personnes qui partagent cet avis ne changent pas la valeur intrasèque de l’artiste.

Written on mars 9th, 2009 , General, Musique, Réflexions

Me voici de retour après quelques soucis de santé. En effet après avoir fait une après midi de VTT, brassé 120 m3 de tuyas à brûler et une compet de tir à l’arc, j’ai passé quelques nuits blanches. A chaque fois c’était la même chose, je me suis réveillé en sueur avec le coeur qui palpipait très fort dans la poitrine et une incapacité à reprendre mon souffle. Il a bien fallu deux heures debout pour que ça passe.

J’ai donc passé une batterie d’examen, médecin, cardiologue, radio des poumons,  j’ai même été admis en urgence à l’hopital hier matin. Finalement, il semblerait qu’il n’y ait rien de grave, juste une réaction allergique au pollen des tuyas que j’ai brassés, les alvéoles ayant été bien dilatées par le vélo juste avant.

Le but de ce post est de dire que l’étouffement est l’une des pires choses qui puisse arriver. Par manque d’oxygène le coeur se met à battre plus fort pour envoyer plus d’oxygène, et la respiration courte et rapide ne semble pas nous rassasier. Je ne sais pas si c’est par manque d’air ou à cause de la panique, le cerveau est incapable de rationnaliser, des pensées dans tous les sens se collisionnent, s’enchainent sans lien logique entre elles, un peu comme la chanson trois petits chats. A l’issue de ces expériences, je peux affirmer qu’on ne voit pas sa vie défiler devant ses yeux, qu’on pense à ceux qu’ont va laisser si on ne s’en sort pas mais en tout cas on ne part pas dans la sérénité.

J’ai récemment été marqué par un épisode de Dr House, dans lequel, inrigué par les tendances suicidaires du patient, il tente lui même de s’électrocuter pour obtenir un arrêt cardiaque de quelques minutes. J’avais trouvé cette scène très forte et avait suscité en moi beaucoup de réflexions. Maintenant, je la regarde avec plus de distance, ce n’est pas du courage qu’il faut pour faire ça, c’est de la folie.

Written on mars 8th, 2009 , General

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