Heu je parlais du mois, pas de la barre chocolatée. Juste un petit post pour dire que j’ai réparé le système de publication d’image de ce blog (il s’agissait d’un point de montage qui avait changé sur le serveur de Free et bizarrement WordPress se base sur le chemin du filesystem à savoir /mnt/sdc/…).
Bref après une petite requête SQL pour modifier tous les chemins des fichiers, c’est reparti ! Je vais pouvoir vous faire profiter de photos de mon projet.
Etape 10: On installe le cluster de serveurs et les switchs fibre channel
Etape11: On installe la baie de disques (4 TeraOctets pour commencer)
Etape 12: On connecte le tout en prenant bien soin de redonder tous les liens optiques
Etape 13: On relie les contrôleurs au réseau eton configure tout ce petit monde
Etape 7: On installe le backbone et les switchs secondaires
Etape 8: On installe les boîtiers VPN SSL et les analyseurs de flux
Etape 9: On installe le serveur de management (ouf on va pouvoir travailler à distance)
Etape 4: On configure les routeurs (on va même jusqu’à simuler l’interconnexion avec un vieux Cisco)
Etape 5 : On configure les firewalls (oui oui ils ont exactement la même têtes que les routeurs, normal c’est le même chassis)
Etape 6: On racke le tout et on interconnecte avec l’opérateur (arrivées fibres)
Etape 1: On monte les baies
Etape 2: On apporte le matériel
Etape 3: On déballe le tout et on racke les accessoires (PDU, Switchs KVM, Barrettes électriques, tiroir clavier écran…)
En 26 ans je n’avais jamais navigué sur la Loire. Pas même en bateau ou en barque. Ce week-end je n’avais (fait rare pour cette saison) aucune compétition de tir à l’arc. J’en ai donc profité pour voir les amis et profiter pleinement de ce week-end de 3 jours. Nous avons entrepris de faire la descente de la Loire en canoë, chose difficile, non pas par la navigabilité du fleuve mais parce que toutes les locations étaient complètes ! Nous avons finalement trouvé à faire un trajet de 12 km en partant de Mosnes et en arrivant à Amboise, avec un passage sportif sous le pont.
Je n’ai jamais trouvé la Loire forcément belle en soit, même si j’apprécie la voir à Tours et que j’aime les soirées passées à la guinguette tout à côté en été, ce qui apporte un brin de fraîcheur. Là j’avoue que j’ai savouré cette descente,il était doux de se laisser porter, les pieds dans l’eau fraiche, de s’arrêter sur une île inaccessible autrement qu’en bateau et de profiter de ses plages de sable.
On dit que le zen peut se trouver dans tous nos actes quotidiens, la confection d’un bouquet, le tir à l’arc, la décoration et l’agencement de la maison. J’ai souvent le sentiment d’atteindre cette plénitude quand je tonds la pelouse. A la manière d’un jardin japonais, j’aime tracer des lignes régulières et donnant une sensation de profondeur. En lieu et place d’un râteau et d’un bac à sable, j’ai une pelouse et une tondeuse. Certes il y a le ronron celle-ci, mais il est tellement entêtant que finalement j’arrive d’autant mieux à réfléchir. Ce texte m’est d’ailleurs inspiré de mes deux heures de tonte. Je vais jusqu’à repasser sur une ligne si une petite touffe a été oubliée ou si la tondeuse a laissé une motte.
J’aime ensuite à me promener pieds nus sur ma pelouse fraichement tondue. Je ne joue pas au glof mais on a à la maison un putter et une balle. Souvent je les sors, je pose la balle au sol et je m’imagine sur le green d’un parcours de glof. Malheureusement pour connaître un vrai green, la qualité de notre pelouse en est bien loin. J’ai une profonde admiration pour les jardiniers qui entretiennent les terrains de foot, j’aimerais avoir leur don pour avoir de si beaux résultats, qu’il s’agisse de ligne parallèles ou de cercles concentriques. J’ai découvert il y a peu de temps qu’ils attelaient un appareil spécial à l’arrière d’un tracteur pour faire cet effet de lignes alternées.
Le second effet se produit dans les 3 jours qui suivent. Les lignes qui produites par les roues de la tondeuse et qui donnent cet effet de ligne blanche s’estompent au fur et à mesure que l’herbe se redresse et c’est d’autant plus agréable à l’oeil qu’il n’y a plus qu’une grande étendue verte dans laquelle on a envie de se rouler.
Quelques photos prises ce soir après la tonte vers 20h30 dans un soleil déclinant:
Et mon « rateau » japonais:
National Geographic vient de mettre en ligne une petite application amusante. Il s’agit d’une photo sur laquelle on peut zoomer indéfiniment. Il ne s’agit pas de l’un de ces images vectorielles telles que celles qui permettent de zoomer sur un détail du bureau de l’Elysée ou de l’Airbus A380. En fait, en fonction de la couleur dominante de la zone, l’image est « pixellisée » chaque pixel étant en fait une autre photo dont la couleur globale correspond à celle du pixel.
Outre l’aspect technique, c’est très relaxant et les photos sont toujours aussi belles. Le lien: http://www.thegreenguide.com/infinite-photograph
C’est il y a trois semaines et cela me paraît déjà ci loin. Les effets bénéfiques que je vantais dans mon précédent post commence à disparaître (heureusement qu’il y a de très bonnes nouvelles qui m’ont propulsé mon moral tout en haut du baromètre).
Alors pour retrouver encore un peu, encore une dernière fois ces sensations d’émerveillement et de bonheur pur voici la galerie de mes vacances au ski à Saint Lary.
Depuis hier à 13h jusqu’à tard dans la nuit, il n’a pas cessé de neiger. Le retour du travail hier soir a été difficile. Par sécurité j’avais mis mes chaines. Ce matin cela roulait très mal et j’ai mis une heure au lieu de 20 minutes pour aller travailler.
Une photo de mon lieu de travail:
Une photo du jardin:
