Le rituel du matin est maintenant rôdé. Notre amis allemand nous emmène sur le lieu de la formation. Il a changé de trajet ce matin et nous avons pu visiter une partie du quartier que nous n’avions pas encore fait. Nous arrivons dans le building, prenons notre café, un petit gateau delacre comme tous les jours et la formation redémarre sur les chapeaux de roue. Le formateur part en vacances ce soir et ne veut pas rater son avion. Il nous annonce que nous allons finir à midi alors que le rendez vous avec mes amis hollandais est fixé à 16h. Après un rapide déjeuner, nos collègues de formation nous quittent. Mes collègues ont encore un peu de temps avant de prendre le train. On en profite pour planifier le déploiement de cette nouvelle solution de backup dans les semaines à venir.

Nous nous séparons donc, je prends la direction du tram, il se met à pleuvoir. Trempé, je monte dans le tram mais je n’ai pas de monnaie pour le distributeur de tickets. Je vais donc faire de la monnaie dans le centre commercial d’à côté. Je me sens un peu seul, c’est différent des 4 autres jours passés en groupe. Je me rends  à la gare Amsterdam sud où je dois retrouver Leo. Je suis un peu en avance et dois l’attendre. A partir de ce moment c’est du bonheur pur, nos retrouvaille, notre discussion dans le train, le fait de redécouvrir leur maison plus de 15 ans après, essayer de se raccrocher à quelques brides de souvenir. C’est très difficile pour moi à cette heure d’écrire ces mots, je nage en plein surréalisme – le fait de me retrouver dans cette maison, en Hollande – et le fait que toute la conversation de fait en anglais, j’ai du mal à retrouver mon français et ça ne va pas s’arranger avec le week-end…

Written on septembre 5th, 2008 , General

Je me suis maintenant habitué au goudha au petit déjeuner, le fromage me manque lors des repas de la journée. La journée de formation est toujours aussi dense et le temps aussi gris. Moi qui étais bien content d’avoir une connexion Wifi, je commence à le regretter. Les mails affluent, les problèmes sur Tours ne se résolvent pas et tout converge vers moi. La formation se finissant à 17h, nous retournons à l’hôtel et je démarre le vpn pour intervenir sur les serveurs de nos clients.

A 21h nous nous interrompons pour prendre un repas à l’hôtel et à 22h je retourne superviser l’état de nos sauvegardes. Je commence à maudir ce vpn qui me permet de me connecter depuis n’importe quelle liaison internet. La surprise aura lieu le lendemain matin (vendredi) sur la facture de la note d’hôtel. Le rendez-vous est fixé avec Leo pour le lendemain. J’ai les yeux bien fatigués quand je vais me coucher (le reste du corps aussi d’ailleurs)

Written on septembre 4th, 2008 , General

Nous avons l’immense privilège d’avoir un chauffeur ce matin. En effet au lieu de 30 minutes de marche, nous nous sommes faits emmener par notre collègue allemand qui réside dans le même hôtel que nous. La formation suit son cours, on reste sur des aspects de base de l’outil de sauvegarde mais nous n’avons pas encore vu les spécificités qui nous ont fait choisir ce produit. Le temps est toujours grisâtre, du coup le temps semble passer lentement.

Heureusement à 17h30 nous avons fini la journée, ce qui tombe car nous avons prévu d’aller à Amsterdam ce soir. Après avoir déposé nos affaires à l’hôtel, nous prenons un taxi qui nous dépose dans le centre. Nous arpentons les rues pavetées au hasard, nous n’avons pas de plan. Je n’avais pas souvenir que les façades des maisons penchaient autant. Nous voici rendus dans les rues les plus typiques d’Amsterdam, les cofee shop et les magasins spécialisés se succèdent. Nous nous arrêtons prendre un verre et contemplons une fois encore le goût des hollandais pour les intérieurs chaleureux en comparant les appartements situés de l’autre côté du canal.

Tradition oblige, nous faisons la rue principale du quartier rouge, il y a énormément de touristes finalement, beaucoup de couples ou de femmes seules. Cela ne nous emballe pas plus que cela, il y a des scènes cocasses de petîts vieux qui regardent les derniers sextoys en devanture ou de vigiles qui ont de drôles d’arguments pour nous inviter à rentrer (non je ne pense pas que ce soit un truc un voir en allant à Amsterdam, un strip tease de grosses… Nous trouvons un restaurant argentin qui a le don d’attirer les passants par la bonne odeur de steak qu’il dégage. Une fois encore la viande est excellente, cela balaye défintivement mes mauvais souvenirs de la nourriture hollandaise.

Nous continuons nos pérégrinations dans les rues. C’est très animé, il y a du monde partout alors que nous ne sommes plus en période de vacances. Des groupes entiers de jeunes, de personnes agées se dirigent vers le quartier rouge, décidément haut lieu touristique. Nous finissons la soirée dans un café à l’ambiance survoltée. La décoration est futuriste, ils passent de la techno (qui fait partie de la culture hollandaise). C’est avec plaisir que je découvre que le dj est une djette et plutôt mignonne en plus, surtout très douée. Elle utilise des platines Pioneer, celles qui me font tant envie en ce moment couplées avec un logiciel de djing, j’ai très envie de me glisser dans son box.

Sans difficulté nous hellons un taxi pour rentrer à l’hôtel où j’écris ces quelques lignes un peu fourbu et ennivré par la soirée et l’ambiance de cette ville exceptionnelle.

Written on septembre 4th, 2008 , General

L’intérêt d’avoir une chambre qui donne sur un canal, c’est le charme, le calme. L’inconvénient quand on a ouvert la fenêtre durant la nuit c’est les moustiques. Ces salles bêtes ont eu raison de mon sommeil. Nous voici donc dans la salle du petit déjeuner pour notre première véritable journée en hollande. Je n’ai pas trouvé de beurre de cacahuète sur la table, on a même eu le droit à un véritable croissant, bien meilleur que ceux que l’on sert dans les hôtels parisiens. Le principe est séduisant, il y a une prestation de base sur la table et l’on peut demander ce que l’on veut à la carte: une omelette, du jambon, une salade de fruit. Nous nous sommes tenus au petit déjeuner classique français.

Le temps est très incertain, nous nous mettons en marche vers le lieu de la formation. La réception nous confirme que nous en avons bien pour 20 minutes de marche. Au premier carrefour, alors que nous étions nous même en train de nous repérer sur la carte, une personne s’approche de nous, nous demande quelque chose en hollandais, nous lui répondons en anglais. Après quelques indications d’après notre propre plan celle-ci nous dit: “Mais vous êtes français comme moi !”. Une fois les indications échangées, nous nous remettons en route. Nous quittons notre lotissement pour nous retrouver dans une zone de bureaux à côté du centre international des congrés.

Malgré tout nous longeons des habitations tout à fait charmantes, il y a des pelouses, des étangs, des canaux partout. Nous arrivons à l’heure à la formation sans nous perdre cette fois-ci. La formation démarre rapidement, on fait un tour de table. Il y a un panel représentatif des nations européennes: il y a deux autrichiens, deux allemands, un espagnol. Le formateur est anglais. Certaines parties du cours sont assurées par d’autres personnes: un hollandais, un américain. Tous les échanges se font en anglais même entre les formateurs.

La matinée passe vite et à 13h nous faisons une pause déjeuner. Dans la salle d’à côté des plats nous ont été livrés et sont maintenus au chaud par des brûleurs à alcool. Je m’attendais au pire, voir même ne pas manger, mais finalement nous avons eu le droit à des pâtes à la bolognaise, une salade et une bûche à la crème au beurre (oui je sais c’est pas Noël).

Nous reprenons le cours, entre temps je me connecte au wifi de la salle de formation. Nous avons en fait un réseau dédié pour les étudiants qui nous permet de garder le contact avec nos sociétés respectives. A 17h je reçois un mail urgent d’un client qui n’arrive pas à accéder à certaines machines au Japon. En parllèle de la formation, je lance donc mon VPN pour me connecter sur son réseau et modifier la configuration de son ASA Cisco.

Pour cloturer la soirée, nous avons un dîner de bienvenue. Il est 18h, des taxis nous attendent en bas pour faire le trajet. Nous voici dans le meilleur restaurant chinois de Hollande aux dires de notre chauffeur de taxi. Celui-ci parle un très bon français et est typique du hollandais expansif voir éxubérant. Le repas démarre doucement, nous sommes tous les dix autour d’une table ronde. Au milieu, un plateau tournant en verre nous permet de faire passer les plats. Cela démarre tout en douceur, c’est tout à fait délicieux.

Nous sommes un peu sur notre faim suite à ces entrées. Une fois que les plats arrivent, nous avons la certitude que nous ne pourrons pas tout finir, pourtant les allemands ont un bon coup de fourchette. J’ai l’impression de voir passer tous les plats du menu. L’ambiance qui n’était, avouons le, pas très chaude toute la journée se réchauffe progressivement. Dehors, il pleut des cordes. Nous rentrons à l’hotel à pieds, car finalement nous n’étions qu’à 500m.

Nous recevons enfin nous accès wifi, cela me permet de discuter un peu avec la France mais aussi avec mes amis hollandais que je vois connectés pour la première fois depuis de longues semaines. Nous nous laissons emporter une fois encore par l’ambiance de cette fameuse salle d’hôtel. La réceptionniste est toujours aussi prévenante, notre anglais s’étant débridé, nous arrivons même à plaisanter.

Demain nous avons prévu d’aller à Amsterdam après les cours, pourvu que le temps se dégage…

Written on septembre 2nd, 2008 , General

La journée d’aujourd’hui était consacrée au trajet. C’est sous un soleil radieux que j’ai grignoté mon sandwich sur le parvis de la garde de Saint Pierre des Corps avant de monter dans le TGV de 12h15 pour Paris Montparnasse.

A l’issue d’un trajet animé par les derniers touristes qui rentraient, quand j’ai rouvert les yeux, nous étions en vue de la tour du même nom que la gare et le ciel était tout gris. Nous nous sommes engouffrés dans le métro mais avec moi de précipitation que le matin quand nous sommes attendus chez le client. Arrivés à la gare du Nord, il nous reste deux bonnes heures à attendre. Nous nous installons donc avec mon collègue dans un café et sommes rapidement rejoint par notre troisième laron.

Cette fois ça y est c’est l’heure, nous rejoignons notre Thalys, qui n’est en fait qu’un vieux TGV en violet. Ce qui me frappe c’est qu’il y a 2 controleurs par porte et que les annonces sont dans toutes les langues. Le wagon est très bruyant, les hollandais se parlent d’une rangée à l’autre et sont un peu excités par ce voyage. Pour nous ce sont 4 heures qu’il va falloir meubler.

Le premier arrêt se fait à Bruxelles, sous un ciel de plus en plus menaçant. Cette ville nous a fait forte impression mais dans le mauvais sens. Certainement les gares ne nous montrent pas les plus beaux endroits et certainement que le temps maussade n’était pas pour arranger les choses. Mais tout nous a semblé gris, sale, on a même évoqué les villes du Nord. Pourtant au loin de grandes constructions anciennes ou modernes semblent poindre et nous faire changer d’avis.

Nous passons encore une frontière et nous voici en Hollande. Là c’est tout à fait différent. Tout nous semble propre, les voies sont isolées par des haies de verdure, il n’y a aucun tag qui dégrade les batiments. Les hollandais devant nous ayant abusé du mini bar, le voyage devient de plus en plus long au fur et à mesure que nous approchons de notre destination.

Nous voici enfin à Amsterdam, je suis impressionné par les grands batiments ultra modernes qui nous accueillent. Certainement que la défense a bien changé depuis la dernière fois que j’y suis allé, mais je me demande si on peut trouver un équivalent en France.

Une fois descendus du train, nous suivons le flot et nous nous retrouvons livrés à nous même. D’après nos indications on a le choix entre le tramway ou le taxi. Nous optons pour la voie aérienne. Nous cherchons désespérement comment acheter des tickets et nous finissons par monter dans le tram. Le chauffeur a du mal à nous comprendre et ne sait pas nous indiquer où descendre. Malgré tout nous traversons tout Amsterdam, qui est vraiment impressionante.

Bien sûr il y a des vélos, des canaux et des bateaux partout. Cela dit j’avais souvenir qu’il y avait plus de canaux, mais nous ne sommes peut être pas dans le bon quartier. Puis le paysage change, nous nous retrouvons à la campagnes alors qu’il y a quelques centaines de mètres nous étions en ville. Nous atteignons le terminus qui est un centre d’affaires mais qui est désespérement vide. Nous essayons de nous faire indiquer la direction par le chauffeur du tram mais il ne connait pas l’adresse où nous allons.

Nous nous retrouvons à marcher 20 minutes avant de trouver un plan. Nous sommes partis dans la mauvaise direction. Nous coupons à travers un lotissement qui nous permet d’apprécier l’architecture locale. C’est une ambiance feutrée et sereine qui règne au delà des baies vitrées, rarement protégées par des rideaux. J’essaye de m’imprégner des ideés de décoration,c ar il n’y a pas à dire, ils savent y faire. Des petites bougies, des canapées mouelleux, des lumières tamisées, on dirait qu’ils ont développé un art de vivre basé sur le coocooning.

Nous sommes un peu inquiets car bien que le quartier soit agréable, on n’imagine pas y trouver un hotel. Nous longeons un canal, les gens sont par petits groupes à discuter ou à courir, mais il fait déjà nuit. On arrive enfin dans la bonne rue. Notre numéro d’hotel est le 19 et nous sommes au 123 ! Nous arrivons finalement à destination. On se croirait dans une pension de famille, l’ambiance est cossue, avec de vieux meubles et une décoration qui respire la tradition. Il est 21h30 (notre train arrivait à 19h30) nous n’avons pas encore mangé et il n’y aucun restaurant à proximité.

Il y a heureusement un service de restauration qui nous prépare un steack avec une petite salade pendant que nous prenons possession de nos chambres. La mienne donne directement sur un autre canal qui passe derrière l’hôte. Il n’y a qu’un étage. Des hollandais sont regroupés au bar, ou discutent autour d’une table mais de manière très discrète. On se croirait tout à coup dans un club privé anglais.

Heureux d’avoir pu manger quelque chose (la viande était excellente), nous prenons une petite bière sur la terrasse dans un salon en osier avant d’aller nous coucher. Demain une autre paire de manches nous attend, nous attaquons la formation en anglais…

Written on septembre 1st, 2008 , General

A moi les canaux, les moulins à vent, les tulipes, les fromages en plastique, je pars une semaine en formation en Hollande. Bon d’accord, j’avoue, la formation ne dure que 4 jours, mais j’ai changé mes billets de train pour passer le week-end avec mes amis hollandais.

Du coup vous n’allez pas beaucoup me voir au mois de septembre, je rentre le dimanche soir et dès le lundi j’embraye sur une mission de 3 jours à Paris. La semaine suivante, je passerai aussi toute la semaine à Paris pour mettre en place la techno que j’aurai apprise en formation. A mon retour je pourrai enfin prendre rendez vous chez le kiné pour replacer cette fichue vertèbre qui me torture depuis le début de la semaine…

Written on août 31st, 2008 , General

Nous sommes allés voir le dernier film d’animation de Pixar hier soir avec ma soeur. Notre salle ayant été la dernière à être ouverte, j’ai été étonné de constater qu’il y avait une majorité d’adultes pour ce film qui est classé comme film pour enfant sur les sites cinéphiles. Pour ma part, bien qu’ayant eu  la pire note de toute ma vie d’étudiant en infographie (j’étais alors en maîtrise et l’infographie était la spécialité du labo d’informatique de Poitiers, la honte…), j’ai toujours été amateur d’animation 3D. Je n’avais à l’époque pourtant pas été marqué par Toys Story, mais depuis je ne rate aucun Pixar, ni aucun DreamWorks.

J’ai adoré le film, une fois encore on se demande par quel coup de maguette magique les animateurs de Pixar peuvent donner vie à un objet à priori sans âme, à l’image de la lampe de bureau dans les premiers courts métrages (mais si vous savez c’est même devenu le logo de Pixar au début de chaque film).

Mais là n’est pas l’objet de mon post. Le film relate l’histoire d’un robot éboueur, le dernier “être” sur Terre après que tous ses habitants l’aient quittée, submergés par les ordures. Le film est un véritable plaidoyer pour le respect de l’environnement, la propreté (Wall-e se retrouve malgré lui dans le vaisseau qui a servi à héberger l’humanité en attendant que la terre redevienne habitable et où la chasse à la moindre salissure par un petit robot sert de fil rouge humouristique).

Tout le monde sort de la salle émus comme à chaque fois. Nous attendons la fin du générique, car comme toujours il est parsemé d’images humouristiques, mais 98% de la salle s’est levée et est partie dès que les lumières se sont rallumées. A la fin ma soeur me fait remarquer que la salle est jonchée de boîtes de popcorn, de popcorn aussi d’ailleurs, de gobelets en cartons et de papiers de bonbons.

Désespérés nous quittons la salle, il faut croire que le message que voulait faire passer Pixar n’a pas pris et que les gens continueront à se comporter en simple consommateur irresponsables tels qu’ils sont caricaturés dans le film d’ailleurs.

Written on août 24th, 2008 , General

De toutes les choses que l’on puisse faire en été, il y en a une qui pour moi est plus symbolique que les autres. Outre les baignades, les barbecues entre amis à la bougie sur la table de jardin, il y a un rituel qui fait remonter à la surface des flots de souvenirs de mon enfance. Décidément la madeleine de Proust peut se cacher à n’importe quel détour. Aussi, chaque été à la nuit tombante, j’aime prendre le jet d’eau, régler l’embout sur pluie et aller arroser les lavandes qui poussent sous ma fenêtre.

Maintenant que je l’ai écrit et que je relis mes mots, je trouve cela banal et je me demande qui cela peut il intéresser. Mais pourtant, ce geste est mon jardin japonais à moi. Il y a plusieurs aspects. Tout d’abord visue, j’aime voir les brins plier et se redresser sous les assauts répétés des gouttes. Il y a également le son produit par le tuyau qui tire sur les canalisations de la maison mais aussi le contact du jet avec la terre. On a vraiment l’impression que les plantes nous remercient ainsi que la terre en émettant son glouglou, surtout lorsque la journée a été chaude. Enfin il y a les effluves dégagées par la lavande. J’ai appris récemment que la lavande était une plante réputée pour faciliter le sommeil. Pas étonnant que j’ai disposé des sachets sur ma table de nuit.

Lorsque je retourne dans ma chambre pour me coucher, les effluves sont remontées le long du mur et se sont glissées dans la pièce. J’entant encore les gouttes d’eau perler et s’égoutter lentement. Le temps semble s’arrêter, mes pensées se taisent, je contemple le ciel étoilé tout en sachant que je reproduis un rituel annuel, tel que mon père le pratiquait (et le pratique encore, pas la peine d’en parler au passé).

Written on août 17th, 2008 , General

Me voici de retour de vacances. J’ai en effet pour cette dernière semaine de congés rejoint mon club d’escalade à Ailefroide dans le parc des Ecrins. C’est devenu le rendez-vous incontournable depuis quelques années pour tous les amateurs de grande voie et de grands espaces. Pendant que je suis en train de générer la galerie de photos, je vais faire un petit compte rendu à rebours comme d’habitude en commençant par la journée du 2 Août. Il suffit donc de cliquer sur les dates de la semaine sur le calendrier situé à droite de cette page.

Written on août 10th, 2008 , General, Vacances

Mondialement connu pour ses meubles, ses objets de décoration voire même ses petites cuillères, Philippe Starck est un homme que j’admire pour son idée et son charisme. Je viens d’avoir vent de sa dernière création par la mailing list de mon photographe préféré Philip Plisson. Après les souris d’ordinateur (pour Microsoft) à quoi le Maitre pouvait il bien s’attaquer ?

Toujours là où on ne l’attend pas, il vient de concevoir un yatch. A ces mots on pourrait penser qu’il a fait la décoration intérieure du bateau, mais ce n’est pas le cas. Il a tout dessiné à commencer par la coque résolument innovante, qui n’est pas sans rappeler le Nautilus, bateau du capitaine Némo dans “La ligue de gentlemen extraordinaires”. Le plus impressionnant, c’est que lors des tests ils se sont aperçus que cette forme de coque ne produisait que peu de vagues et pouvait avoir des performances exceptionnelles.

Ci dessous une photo du Projet A de Philippe Starck

Pour voir un diaporama complet de la bête, vous pouvez vous rendre à cette adresse.

Written on juillet 28th, 2008 , General, Photos

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