Pour faire plaisir à Titix (et surtout parce qu’il avait raison lorsqu’il disait que l’iconbox était géniale) voici un aperçu de mon bureau sur mon pc Linux:
Pour faire plaisir à Titix (et surtout parce qu’il avait raison lorsqu’il disait que l’iconbox était géniale) voici un aperçu de mon bureau sur mon pc Linux:
Voilà je suis dans le train qui me ramène chez moi. Au fur et à mesure que le TGV me rapproche de chez moi, il m’éloigne de Paris, des amis qui m’ont hébergé ce week-end, de ceux avec lesquels j’ai pris un verre. Comment se fait-il qu’un évènement qui a été si attendu, si préparé depuis des mois se soit passé aussi vite ?
J’essaye de me souvenir de quelques brides: l’arrivée de Mathias sur scène, une salle survoltée. Le morceau neige qui a été suivi par 6000 personnes entre les gouttes de sueur et les larmes. On ne savait plus faire la différence, dans ce Zenith surchauffé, survolté. Tu sautes timidement au début et à la fin tu n’attends que ça.
Je me souviens de leur arrivée sur scène sobre (sauf pour un), l’émotion de voir Miky « en vrai ». C’est drôle de dire en vrai, alors que le concert a été complètement surréaliste. Les 60 musiciens de l’orchestre symphonique de Belfort ont complètement transformé l’intensité de la musique de Dionysos, on était dans un conte de fée, les arbres en métal du décor, l’éclairage, la chair de poule lorsque les premiers cuivres ont attaqué.
Le week-end a été aussi dans le désordre: Guitar Hero au petit déjeune, La Sorbonne, Le sacré coeur, Le métro, Le marché fait avec Titix, Une après midi avec Sabine, les retrouvailles après plus d’un an, les journées bercées au son d’artistes bourrés de talent sur le pc.
Je suis devant mon pc, chez moi. J’ai perdu mon ticket qui aurait pu constituer la preuve que ce que j’ai vu était bien réel. Tant pis, je serre dans mes bras mon Tee short acheté à la sortie, alors que nous pouvions à peine marcher et que nous n’avions plus un centimètre carré de sec.