Pour faire plaisir à Titix (et surtout parce qu’il avait raison lorsqu’il disait que l’iconbox était géniale) voici un aperçu de mon bureau sur mon pc Linux:
Pour faire plaisir à Titix (et surtout parce qu’il avait raison lorsqu’il disait que l’iconbox était géniale) voici un aperçu de mon bureau sur mon pc Linux:
En faisant les mises à jour d’usage de ma Debian, je suis passé à la nouvelle version de XFCE (la version 4). Pour ceux qui ne connaissent pas XFCE, c’est une alternative légère et performante à des monstres tels que Gnome ou KDE. Cette nouvelle version inclut plein d’effets de transparence (la barre des fenêtre, la barre des tâche, la barre de menu, les menus contextuels), des ombres portées (autour des fenêtres) et un support de l’anti aliasing pour les polices.
J’adore également sa conception modulaire: par exemple si vous ne voulez pas installer de gestionnaire pour le papier peint du bureau c’est possible. Pas besoin du navigateur de fichier graphique ? Vous ne l’installez pas. Vous construisez votre environnement graphique comme un Lego.
Le tout couplé à Xorg donne un effet des plus jolis que je ne me lasse pas de contempler…. à défaut de travailler.
En bon geek je viens de passer l’après-midi à installer les pilotes NVidia sous Debian pour faire fonctionner un petit gadget. Celui-ci s’appelle 3D-Desktop et permet d’avoir une jolie animation en 3D lorsque l’on change de bureau.
Pour voir à quoi ça ressemble …. http://desk3d.sourceforge.net/screenshots.php
Pour faire fonctionner une carte Wifi lorsque la société ne souhaite pas développer de drivers pour Linux, on a recours à Ndiswrapper. Ce module permet d’utiliser des drivers Windows sous Linux. Bon dans l’esprit c’est pas génial, mais des fois on ne peut pas faire autrement et dans c’est le cas avec ma Netgear.
Pré requis
Ce post n’a pas vocation à devenir une référence, il y en a de très bon sur Internet. Il est très personnel et me sert d’aide mémoire en quelque sorte…
Bon comme on va faire du wifi, autant installer les paquets Debian qui vont bien, tels que iwconfig (la même chose que ifconfig mais pour le wifi, iwlist (scan des points d’accès)….
apt-get install wireless-tools
Ca c’est fait….
Installation de ndiswrapper
A partir de ce point deux possiblités: soit vous êtes en stable et tenez à le rester à tout prix contre vents et marées -non mais pas fou non- ? Et dans ce cas là il faut aller télécharger les sources sur http://ndiswrapper.sourceforge.net. Soit vous êtes en testing ou unstable et dans ce cas c’est magique !
apt-get update(ça fait du bien de temps en temps)
apt-get install ndiswrapper ndiswrapper-utils ndiswrapper-source
Vous obtenez alors un fichier bz2 dans /usr/src, il va falloir l’extraire avec la commande bunzip2 ndiswrapper-source.bz2. Vous obtenez alors un fichier tar qu’il va falloir de nouveau extraire avec tar xvf ndiswrapper-source.tar.
Après, j’ai un noyau compilé à la main. Je vais donc dans le répertoire des sources pour faire unmake-kpkg modules_image, ce qui me produit un paquet .deb avec ma version du noyau dans /usr/src.
Il faut alors installer le .deb à l’aide de la commande dpkg -i ndiswrapper-modules-2.6.12……deb
Il faut ensuite récupérer le driver Windows et le copier dans /tmp. C’est un fichier .inf que l’on que obtenir soit à partir du cd de driver, soit sur la partition windows si vous êtes en multiboot.
Pour faire charger le pilote on fait un ndiswrapper -i bcmwl5a.inf et on vérifie s’il a bien été chargé avec ndiswrapper -l. S’il met driver present, hardware present c’est gagné ! Sinon i lfaut le décharger avec ndiswrapper -e et en essayer un autre.
Charger le module ndiswrapper
Pour un usage immédiat, charger le module dans le noyau avec la commande modprobe ndiswrapper. Afin de ne pas avoir à le refaire à chaque fois, rajouter la ligne ndiswrapper dans /etc/modules.
Configurer l’interface
Il ne reste plus qu’à faire la configuration de l’adresse IP, du point d’accès, de la clé wep. Pour cela éditer le fichier /etc/network/interfaces et rajouter les lignes suivantes:
auto wlan0 iface wlan0 inet static
wireless-mode Managed
wireless-keymode restricted
wireless-key **:**:**:**:**:**:**:**:**:**:**:**:**
wireless-essid WANADOO
wireless-rate auto
address 192.168.1.3
netmask 255.255.255.0
network 192.168.1.0
broadcast 192.168.1.255
gateway 192.168.1.1
Un petit coup de /etc/init.d/networking restart suivi d’un iwconfig pour voir la configuration sur la nouvelle carte wlan0 et l’on peut tenter le tout pour le tout en faisant un ping google.fr pour voir si ça répond….
Si par un hasard tout à fait hasardeux à l’issue de votre installation votre clavier n’est pas en azerty comme vous l’avez choisi mais en qwerty, pas la peine de relancer toute l’installation.
Un simple dpkg-reconfigure console-data suffit à vous rendre les login plus joyeux (surtout si vous utilisez tout plein de caractères spéciaux).
De là à vous dire ce qu’il s’est passé pendant l’install…Mystère….
Ce tuto n’est à priori pas complet, je le terminerai dès que j’aurai fait le tour du sujet. Mais voici la première partie.
L’interconexion entre Linux et Windows d’effectue à l’aide de Samba. Celui-ci permet d’accéder à des répertoire d’une machine Windows à partir d’une machine Linux, d’accéder à des répertoires d’une machine Linux à partir d’un Windows, partager une imprimante gérée par une machine Linux et inversement…
Les paquets à installer
apt-get install samba (Le serveur Samba)
apt-get install smbclient (Le client Samba)
aptget install smbfs (Contient des outils tels que le montage de partages)
Configuration de base
Le fichier de configuration de Samba se trouve dans /etc/samba/smb.conf. Dans la section [global] indiquer le « workgroup » Windows auquelvotre machine Windows appartient: workgroup = mon_workgroup. Vous pouvez également modifier le champ « server string » qui sert à identifier votre machine sur le réseau. Vous pouvez mettre ce que vous voulez. Par défaut le %v indique la version du serveur Samba. A mon avis c’est un manque de sécurité que d’afficher publiquement la version du serveur.
Accéder au répertoire partagé
Créer un répertoire dans l’arborescence Linux qui servira à accueillir le contenu du répertoire partagé (mkdir /mnt/partage).Et maintenant la commande magique: smbmount //ip_de_la_machine_windows/nom_du_repertoire_partage /mnt/partage.Il est intéressant de savoir que cela fonctionne également en remplaçant l’adresse IP par le nom de la machine windows sans pour autant avoir de DNS, ni même l’avoir déclaré dans le fichier /etc/hosts.
Un ls /mnt/partage vous permet de vous assurer que vous voyez bien les fichiers contenus sur la machine Windows.
Vous en avez assez du login manager par défaut de GDM ? Il est possible de le changer très facilement.
Après déconnexion, vous pouvez admirer votre nouvelle invite de connexion…
Non je ne parle pas du projet DADVSI où l’on t’arrête pour un titre que tu n’as pas encore téléchargé, mais que tu téléchargeras certainement dans le futur…
Vous avez apprécié dans ce film en bon geek qui se respecte l’écran tactile dont se sert Tom Cruise ? Hé bien sachez qu’il existe comme le montre cette vidéo: http://mrl.nyu.edu/~jhan/ftirtouch/. Attendez un petit peu en arrivant sur la page que la vidéo charge, ça vaut vraiment le coup. J’ai hâte d’avoir le même.
Note pour Fabounet, c’est quand même mieux que ton clavier avec chaque touche qui se compose d’un écran lcd
Contrairement au titre, cet article ne parlera absolument pas de sudoku (haha vous avez été eus là…). Le sudo permet de donner des privilèges à un utilisateur lambda. Par exemple, sous Debian vous devez etre root pour redémarrer ou arreter la machine ce qui est bien mais pas top quand on le fait souvent (au moins tous les soirs).
Voici comment procéder:
# On ajoute une nouvelle machine pour laquelle s'applique la commande (généralement localhost)
Host_Alias = localhost
# On ajoute un utilisateur qui va hériter des droits root
User_Alias = votre_login
#On ajoute les commandes qu'il va etre autorisé à exécuter
Cmnd_Alias HALT = /sbin/halt
Cmnd_Alias REBOOT = /sbin/reboot
# On relie ces déclarations entre elles en spécifiant qu'il ne doit pas taper le mot de passe root pour les exécuter
root ALL=(ALL) ALL
USER HOST = NOPASSWD: HALT , NOPASSWD: REBOOT
Vous pouvez maintenant arreter ou redémarrer votre machine à l’aide des commandes sudo halt et sudo reboot, sans avoir à taper le mot de passe root
Pour occuper vos longues soirées d’hiver, voici un petit tutoriel pour lire des DVD sous Linux.
Le logiciel:
Il existe de très bons logiciels pour lire de la vidéo sous Linux.Mon préféré est Xine, toutefois il n’intègre pas (par défaut)les fonctions de navigation des lecteurs de DVD. Pour cela il faut installer un plugin adapté ou encore utiliser Totem, basé sur Xine (avec une interface Gnome) et donc enrichi de ces fonctionnalité. Il y a tout de même quelques bibliothèques supplémentaires à installer et quelques paramètres à changer avant de lire son premier DVD.<
Le paquet s’appelle totem et comme d’habitude s’installe de la manière suivante:
apt-get install totem
Si toutefois vous voulez installer Xine le paquet s’appelle gxine:
apt-get install gxine
Les bibliothèques:
Après avoir installé Totem, il est recommandé d’installer les bibliothèques suivantes qui sont spécifiques à la lecture des DVD.
apt-get install libdvdread3 libdvdnav4 libdvdplay0
Une bibliothèque nécessite d’ajout d’un repository à apt, il s’agit de la bibliothèque libdvdcss. Celle-ci sert à décrypter les DVD (la plupart le sont) mais n’est pas encore intégrée à la liste des paquets pour des raisons légales.
Afin de rendre cette bibliothèque disponible, il faut rajouter les lignes suivantes dans le fichier /etc/apt/sources.list
deb http://download.videolan.org/pu/videolan/debian/sarge main
deb-src http://download.videolan.org/pu/videolan/debian/sarge main
Maintenant il est possible de faire un apt-get install libdvdcss2
Configuration:
Dans les deux cas, il faut créer un lien symbolique pour identifier le lecteur DVD. Ce s’effectue à l’aide de la commande ln -s /dev/hdd /dev/dvd. Pour moi c’est /dev/hdd car mon lecteur est en esclave sur la seconde nappe. Vous pouvez le savoir en faisant un cat /etc/fstab et en répérant le point de montage que vous utilisez pour ce lecteur.
Si vous avez installé Totem, il se lance simplement avec la commande totem & et ne nécessite pas de configuration particulière.
Si vous avez installé Xine, vous pouvez maintenant lancer Xine en tapant la commande gxine &
Un premier diagnostic est effectué au démarrage pour voir si les conditions nécessaires au fonctionnement de Xine sont remplies.La configuration s’effectue à partir du menu File > Preferences…
Tout d’abord dans experience_level il faut choisir au moins le niveau Advanced pour avoir accès à un minimum de paramètres. Puis il faut se rendre dans l’onglet media.
Dans le sous-onglet dvd, vous pouvez choisir le langage par défaut (que vous pouvez mettre à « fr »), la zone du DVD (2 pour l’Europe) et surtout le chemin vers le lecteur dvd (device) par exemple /dev/hdd.
Si tout est bien configuré, vous pouvez lire des DVD en cliquant sur l’icône « DVD » du menu « File ».Sinon des informations utiles pour résoudre le problème apparaissent lorsque xine est lancé à partir d’un shell (le message d’erreur lirc_init correspond au fait qu’il n’y ait pas de télécommande infrarouge connectée).
[Edit] L’intro a été retravaillée suite aux remarques de TitiX. Merci à lui et à tous ceux qui souhaiteraient apporter leur participation à ces tutoriaux.